Hier vindt u een lijst van aangesloten clubs.
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WAKO Belgique et WAKO International attachent une grande importance à la sécurité de leurs événements et à la santé de leurs athlètes. C'est pourquoi nous appliquons strictement nos "Règles médicales".
Sur cette page, vous pouvez également télécharger les documents médicaux nécessaires pour participer aux compétitions officielles de la WAKO.
PREAMBULE
Les soins médicaux et la gestion optimale de la santé des participants jouent un rôle crucial dans le succès d'une compétition ou d'un tournoi. L'un des principaux facteurs de réussite d'une compétition se caractérise par un faible nombre de blessures ou de maladies.
Les règles et normes médicales de la WAKO doivent être strictement respectées lors des championnats mondiaux et continentaux de la WAKO. Ils sont également destinés à servir de lignes directrices pour d'autres événements nationaux ou internationaux de la WAKO où les règlements nationaux s'appliquent.
Article 1. Service médical lors des compétitions
Lors de chaque événement mondial et continental de la WAKO, le service médical sera coordonné par le superviseur médical de la WAKO, organisé par le médecin en chef local (CMO) et le personnel médical qualifié local.
Article 2 - Obligations de l'organisateur
D'un point de vue médical, les devoirs de l'organisateur des événements WAKO sont les suivants
a) Pendant l'examen médical
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Fournir un nombre optimal de médecins locaux (en fonction du nombre de participants). Les médecins doivent être familiarisés avec les sports de combat.
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Fournir une pièce suffisamment grande (ou plusieurs pièces, si nécessaire) pour l'examen médical, avec un bon éclairage et un bon chauffage/refroidissement. Des salles différentes sont nécessaires pour l'examen des kickboxeurs masculins et féminins.
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Disponibilité d'eau potable pour les kickboxeurs et les officiels.
b) Pendant la compétition
Personnel médical local
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Fournir un nombre optimal de médecins, d'infirmiers, d'auxiliaires médicaux (si le système paramédical est officiel dans le pays organisateur) et d'ambulances locaux.
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En particulier :
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le nombre minimum de médecins requis est de 1 médecin pour 2 anneaux ou 4 tatamis ;
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le nombre minimum de secouristes qualifiés (Croix Rouge ou équivalent), d'infirmiers ou de paramédicaux (si le système paramédical est officiel dans le pays organisateur) est de 1 personne pour chaque anneau ou de 2 personnes pour 4 tatamis. Le terme paramédical désigne un professionnel de la santé qui travaille dans le cadre des services médicaux d'urgence, généralement dans des ambulances, et en particulier les infirmiers et le personnel de premiers secours (ou assistants d'urgence). Les ambulanciers ne sont pas considérés comme des paramédicaux
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Le nombre minimum d'ambulances (avec équipement complet et personnel) est de 2, mais un nombre plus élevé (3 ou plus) est préférable. Le nombre minimum d'ambulances pour les championnats Cadet/Junior est de 3. Une ambulance doit être disponible dans l'arène à tout moment.
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Poste médical
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Un poste médical doit être visible et marqué d'une croix rouge.
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Une tenue visible est obligatoire pour le personnel médical, avec éventuellement la mention "Docteur", "Infirmière", "Paramédic", "Chauffeur", etc.
Itinéraire d'évacuation
Cette zone doit être dégagée afin de garantir le temps le plus court pour atteindre l'ambulance et/ou la salle médicale ou pour permettre à l'ambulance d'atteindre la zone de combat.
Salle médicale
Une zone médicale équipée doit être disponible pour permettre l'examen et le traitement précoce des kickboxeurs blessés.
Service d'urgence
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Un service d'urgence doit être disponible en dehors des matches (service d'urgence 24 heures sur 24 dans la zone des hôtels des kickboxeurs).
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Disponibilité d'eau potable pour les kickboxeurs et les officiels
Matériel médical
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Un minimum d'équipement médical doit être présent sur le site de l'événement WAKO. Le matériel minimum nécessaire est énuméré à l'article 6. Il faut notamment disposer de liquide désinfectant, de gants et de gaze pour enlever le sang. Il est strictement interdit d'enlever le sang à mains nues ou à l'aide d'un morceau de papier.
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Gants et gaze pour les arbitres.
Si les médecins locaux ne parlent pas anglais, l'organisateur doit prévoir un traducteur pour chaque médecin présent.
Article 3 - Fonctions du superviseur médical de la WAKO
Le superviseur médical de la WAKO sera élu parmi les membres de la commission médicale, santé et antidopage de la WAKO, après consultation du président de la commission lui-même. Il sera assisté par le médecin-chef (CMO) et le personnel médical local.
Le superviseur médical est :
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le coordinateur de l'examen médical pré-compétition ;
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le responsable médical de la compétition.
Le superviseur médical :
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arrive 1-2 jours avant le début de la compétition ;
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rencontre le CMO et inspecte ensemble les conditions de l'arène (d'un point de vue médical) ;
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discute avec le CMO de l'hôpital référent et des tâches médicales réelles. Il doit notamment discuter de l'itinéraire d'évacuation à suivre pour les kickboxeurs blessés afin d'atteindre l'ambulance ou la salle médicale le plus rapidement possible et des détails du contrôle antidopage ;
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prépare un rapport médical détaillé pour le Président de la WAKO. À cette fin, il doit remplir le "Formulaire d'inscription aux événements médicaux" (ci-joint) ;
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établit une liste des kickboxeurs suspendus après la compétition, qui sera communiquée aux fédérations nationales de chaque kickboxeur. Cette liste doit inclure la date d'expiration de la suspension.
Chaque jour de la compétition, 30 minutes avant le départ officiel, le superviseur médical de la WAKO et le CMO doivent vérifier ensemble que les 2 ambulances sont sur place.
Si aucune ambulance n'est présente ou si le personnel médical n'est pas sur place, le match ne peut pas commencer ou doit être arrêté.
Si le service médical dans le hall des sports pendant un événement de la WAKO n'est pas conforme au règlement médical de la WAKO, le superviseur médical de la WAKO, en coordination avec le président du comité d'organisation, a l'autorité d'arrêter temporairement les activités.
Le superviseur médical de la WAKO a également l'autorité de reporter le début des combats, si la pesée est trop proche du début prévu des combats, ou si la pesée est retardée ou si les combattants ne sont pas correctement informés.
Article 4. Fonctions du Chief Medical Officer et du personnel médical local
Le Chief Medical Officer (CMO; médecin-chef local) doit être diplômé en médecine d'urgence, en chirurgie traumatologique, en soins intensifs ou en médecine sportive et doit connaître les sports de combat, notamment le kickboxing. Le CMO coordonne le personnel médical local.
Au moins un des médecins locaux doit connaître le système d'urgence local, l'ACLS (Advanced Cardiac Life Support) et l'utilisation d'un défibrillateur externe automatisé (DEA).
Les médecins locaux sont tenus de noter et de signaler tout type de blessure, de maladie ou d'anomalie au superviseur médical de la WAKO en utilisant le " formulaire d'enregistrement des événements médicaux " ci-dessous.
L'CMO local est responsable de
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Faire respecter les lois et règlements médicaux locaux, y compris, mais sans s'y limiter, le règlement médical de la WAKO ;
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alerte d'un hôpital local avec la disponibilité de la salle d'urgence, du service de traumatologie, du service de neurochirurgie et du scanner. Un accord écrit avec l'hôpital doit être présenté ;
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disponibilité de salle(s) antidopage (taille adéquate, éclairage et chauffage/refroidissement, bureau, chaises, toilettes, douches, réfrigérateur, bouteilles d'eau fermées).
Examen médical pour les kickboxeurs
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Un examen médical est obligatoire pour chaque kickboxeur international afin d'obtenir son certificat personnel pour concourir dans le sport du kickboxing lors d'un événement WAKO.
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Chaque kickboxeur doit avoir un certificat médical annuel valide (dans les 12 mois) rempli et enregistré soit auprès du promoteur de l'événement, soit auprès du système d'adhésion de la WAKO, selon le cas. Le formulaire officiel "Certification médicale de la WAKO" doit être utilisé à cette fin (voir pièce jointe) et il doit être rédigé en anglais, sans ajout ni modification du document officiel. Elle doit être signée et tamponnée par un médecin qualifié dans son pays de résidence.
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Chaque kickboxeur doit remettre son certificat personnel au médecin visiteur après la pesée ou le téléchargement enregistré dans le système officiel d'enregistrement de la WAKO.
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Le médecin de l'événement jugeant évaluera la validité et décidera de l'adéquation de chaque certificat.
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Le médecin de l'épreuve juge recueillera ou téléchargera la déclaration de non-grossesse (formulaire joint) pour les athlètes féminines âgées de 14 ans ou plus dans le système officiel d'enregistrement et vérifiera sa validité.
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Dans le cas d'athlètes portant des prothèses dentaires, le formulaire "Certification de prothèse dentaire WAKO" (fourni en annexe) ainsi que la prothèse dentaire ajustée personnellement doivent être montrés au médecin contrôleur ou fournis au système officiel d'enregistrement (voir article 9).
Examen médical pour les arbitres/jurés
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Un examen médical est obligatoire pour chaque arbitre international afin d'obtenir son certificat personnel pour juger dans le sport du kickboxing à chaque événement de la WAKO.
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Chaque arbitre doit être en possession d'un certificat médical valide annuellement (dans les 12 mois), rempli et enregistré auprès du promoteur de l'événement ou du système d'adhésion de la WAKO, selon le cas. Le formulaire officiel "Certificat médical de la WAKO pour les arbitres/jurés" doit être utilisé à cet effet (voir annexe) et il doit être rédigé en anglais, sans ajout ni modification du document officiel. Elle doit être signée et tamponnée par un médecin qualifié dans le pays de résidence.
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Chaque arbitre/référent doit remettre son certificat personnel au médecin visiteur après s'être enregistré ou avoir été enregistré sur le système d'enregistrement officiel de la WAKO.
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Le médecin visiteur contrôlera la validité et décidera du bien-fondé de chaque certificat.
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L'utilisation de lunettes n'est pas autorisée pour l'arbitre central (les lentilles de contact souples sont autorisées) pendant la conduite des matchs sur le ring ou le tatami.
Examens minimaux pour les kickboxeurs
Les examens minimaux pour la délivrance du certificat médical sont les suivants :
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Antécédents médicaux
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Examen physique complet, y compris, mais sans s'y limiter, le système cardiovasculaire (auscultation du cœur, pression sanguine, pouls).
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Électrocardiogramme de repos
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Électrocardiogramme d'effort pour les kickboxeurs âgés de 41 ans ou plus
Ces examens doivent être considérés comme les exigences minimales pour la délivrance d'un certificat médical pour les disciplines de la WAKO. Cependant, la commission médicale, santé et antidopage de la WAKO IF recommande fortement ces tests supplémentaires :
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Les disciplines “boxing ring”
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Électrocardiogramme d'exercice
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Examen ophtalmologique, y compris un examen du fond de l'œil, effectué par un ophtalmologiste qualifié
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Examen neurologique, effectué par un neurologue ou un neurochirurgien qualifié.
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Test sanguin (pour les kickboxeurs de 18 ans et plus) : VIH, antigène de surface de l'hépatite B, anticorps de l'hépatite C.
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Disciplines Tatami
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Electrocardiogramme de stress. Les vétérans doivent avoir une fréquence cardiaque supérieure à 90 % de leur maximum théorique (220 moins l'âge en années).
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Formes
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Aucun test supplémentaire n'est requis
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La liste complète des tests pour les kickboxeurs sera introduite progressivement dans une approche en plusieurs phases, comme indiqué :
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Phase 1 (à partir de 2023) : examens minimaux (anamnèse, bilan de santé et ECG)
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Phase 2 (de 2024 à 2025) : plus, stress test (disciplines anneau et tatami)
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Phase 3 (de 2025 à 2027) : plus examens neurologiques et ophtalmologiques (ring test)
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Phase 4 (à partir de 2028) : plus, test sanguin (disciplines du boxing ring)
Examens minimaux pour les arbitres/juges
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Examen physique général avec électrocardiogramme au repos ;
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test d'acuité visuelle (au moyen de cartes de Snellen) avec un seuil de 6/10 à chaque œil et de 8/10 aux deux yeux (sans correction). L'utilisation de lentilles de contact pour la correction est autorisée pendant l'arbitrage/le jugement (les lunettes ne sont pas autorisées) ;
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tester le champ de vision normal au moyen d'un test de champ visuel de confrontation
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l'audition normale sera testée au moyen d'un test de voix chuchotée.
Chaque fédération nationale peut appliquer les listes ci-dessus au cas par cas, conformément aux lois nationales et aux règlements médicaux des fédérations nationales.
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Le certificat médical (tant pour les kickboxeurs que pour les arbitres/juges) est valable pour une durée maximale d'un an. Si le kickboxeur a subi une commotion, une blessure grave ou une maladie depuis la délivrance du dernier certificat médical, un nouveau certificat est nécessaire.
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Chaque kickboxeur doit remplir le "Questionnaire de santé de la WAKO", concernant ses antécédents médicaux, et le formulaire "Renonciation à la responsabilité de la WAKO".
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Chaque kickboxeuse âgée de 14 ans ou plus doit fournir une " déclaration de non-grossesse " au médecin visiteur après la pesée en utilisant le formulaire de la section annexe.
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Si ces formulaires ("Certification médicale WAKO", "Questionnaire de santé WAKO", "Renonciation à la responsabilité WAKO" et, pour les kickboxeuses, "Déclaration de non-grossesse") ne sont pas correctement remplis, le kickboxeur ne peut pas concourir. Les certificats et les formulaires médicaux peuvent être soumis en ligne à l'avance, si la WAKO a mis en place un système informatique spécial basé sur le web pour l'inscription.
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Examen médical au moment de la compétition
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Le médecin local doit effectuer un examen physique général de chaque kickboxeur concourant dans les disciplines du ring. Cet examen a pour but d'écarter toute blessure ou condition médicale qui pourrait être considérée comme un risque pour la santé du kickboxeur ou de son adversaire. Une attention particulière doit être accordée au système neurologique, au système musculo-squelettique, aux yeux, au nez, aux maladies infectieuses (y compris les infections cutanées).
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Tout kickboxeur participant à un sport de ring doit être revérifié par un médecin local avant de participer à un nouveau combat.
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Chaque arbitre/jury sera soumis à un contrôle médical avant les championnats, le jour de son inscription.
Dans le cas où l'arbitre demande l'avis du médecin concernant une blessure sur le ring ou le tatami, la décision du médecin est définitive.
En cas de blessure sur le ring ou le tatami, le premier sur place est le secouriste certifié, l'infirmier ou le paramédical (si le système paramédical est officiel dans le pays organisateur), même si le médecin peut venir assister le secouriste certifié, l'infirmier ou le paramédical à tout moment. Toute décision concernant la possibilité d'empêcher le kickboxeur de concourir doit être prise par le médecin local, qui peut demander l'avis du superviseur médical de la WAKO. Dans ce cas, la décision du superviseur médical de la WAKO est définitive.
Si un kickboxeur blessé ne peut pas continuer le combat, il doit être conduit à la salle médicale. A partir de ce moment, le médecin de l'équipe a le droit de traiter son propre membre de l'équipe, à condition que le médecin de l'équipe soit un médecin reconnu par la WAKO.
Dans le cas où un kickboxeur doit être retiré de la compétition en raison d'une blessure, son nom sera transmis au comité d'organisation de la WAKO afin de l'exclure des autres compétitions du même événement.
Article 5 - Accréditation des médecins d'équipe par la WAKO
Chaque fédération nationale peut accréditer jusqu'à 3 docteurs. Un formulaire d'accréditation de la WAKO doit être rempli et soumis au président de la commission médicale, santé et antidopage au plus tard le 30 juin. Chaque médecin accrédité recevra une carte d'accréditation officielle de la WAKO, qui lui permettra d'entrer dans la zone de combat.
Article 6 : Critères d'équipement
Afin de maximiser la sécurité des kickboxeurs, les équipements médicaux suivants doivent être disponibles sur le lieu des événements de la WAKO.
ÉQUIPEMENT MÉDICAL MINIMUM NÉCESSAIRE
- gants jetables
- serviettes en papier
- gaze pour fermer les plaies qui saignent
- vaseline
- solutions salines et antiseptiques pour le nettoyage des plaies
- solutions de nettoyage des sols et lingettes jetables
- pulvériser du chlorure d'éthyle (ou autre) pour un effet de refroidissement
- un stock de glaçons (les machines à glaçons sont les meilleures)
- boîtes/sacs de rangement pour les glaçons
- sacs en plastique
- pansements non-adhésifs pour blessures
- ruban adhésif
- bandage
- bandes stériles
- collyre stérile
- ciseaux
- forceps
- abaisse-langue jetables
- brûleur de stylo
- tampons nasaux
- pinces à épiler
- comprimés de glucose
- spatule pour l'examen de la gorge
- otoscope
- ophtalmoscope
- stéthoscope
- sphygmomanomètre
- miroir pour changer les lentilles de contact
- attelles de fixation pour les fractures
- cols rigides de différentes tailles
- tubes nasopharyngés ou masque laryngé
- masque de ventilation
- Cathéters IV
- Fluides de perfusion IV
- médicaments analgésiques
- pansements de suture stériles
- DEA (défibrillateur automatique externe)
- oxymètre de pouls
- glucomètre
Article 7 - Périodes minimales de suspension après un KO ou un traumatisme crânien
Le kickboxeur qui a été mis KO à la suite d'un ou plusieurs coups de tête pendant le combat, ou si l'arbitre a arrêté le combat à la suite d'un traumatisme crânien grave (RSCH/TKO) empêchant le kickboxeur de continuer, sera immédiatement examiné par un médecin local et accompagné à l'hôpital par l'ambulance de service. Dans ce cas, le médecin local remplira la "carte de blessure à la tête de la WAKO" (voir annexe) qui sera remise au combattant et signée pour accord par le combattant (si conscient) et son entraîneur. Le participant doit suivre les instructions figurant sur cette carte.
Si le kickboxeur n'a pas reçu (ou a refusé) un scanner du cerveau à l'hôpital, il doit subir une IRM du cerveau avant de recevoir un nouveau certificat médical.
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Si le kickboxeur a été mis KO à la suite d'un ou plusieurs coups à la tête ou a subi un traumatisme crânien grave ayant entraîné la fin d'un combat, le médecin local classera la gravité de la commotion et prescrira la période de restriction médicale comme suit
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en cas d'absence de perte de conscience (PC), une restriction minimale de 30 jours ;
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en cas de LOC de moins d'une (1) minute, une restriction minimale de 90 jours ;
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en cas de LOC de plus d'une (1) minute, une restriction minimale de 180 jours.
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La LOC doit être comprise comme "l'interruption de la conscience de soi et de son environnement".
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Tout kickboxeur qui subit deux (2) KO en 3 mois suite à un coup de tête ou 2 arrêts suite à un traumatisme crânien grave sera suspendu pour un minimum de 90 jours à partir de la date du second arrêt.
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Tout kickboxeur qui subit trois (3) KO suite à un ou des coups à la tête ou 3 arrêts suite à un traumatisme crânien grave dans les 12 mois, sera suspendu pour un minimum de douze (12) mois à partir de la date du troisième arrêt.
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Toutes les mesures de protection doivent également s'appliquer si un KO et/ou une commotion cérébrale survient pendant l'entraînement ou n'importe où ailleurs (dans un cadre sportif ou non). L'entraîneur sera responsable de rapporter cet événement à la fédération nationale.
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Le président de chaque fédération nationale sera chargé de rapporter le nombre de KO dus à un ou plusieurs coups de tête, d'arrêts dus à un traumatisme crânien grave ou à toute autre commotion cérébrale survenus au cours des 12 derniers mois à son kickboxeur affilié.
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En plus des périodes de restriction médicale susmentionnées, le médecin local peut prolonger la durée de la suspension s'il le juge approprié, en se basant en partie sur l'évaluation de l'hôpital.
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Un kickboxeur ayant une restriction médicale ne peut pas s'entraîner ou s'entraîner pendant la période de restriction, dans n'importe quelle discipline de kickboxing (ring, tatami et formes musicales) ou dans d'autres sports.
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La période de suspension est censée être une "période minimale" et ne peut être annulée, même si un scanner de la tête ou d'autres tests ne montrent aucune blessure visible.
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Après une période de restriction médicale, le kickboxeur doit présenter un certificat médical (nouveau certificat médical) par l'intermédiaire de la Fédération nationale montrant que le kickboxeur est apte à concourir à nouveau en kickboxing. Le certificat médical doit être rédigé en anglais et doit mentionner la date à laquelle le scanner ou l'IRM du cerveau a été réalisé et que cet examen s'est révélé négatif. Une copie de cette déclaration doit être soumise à la commission médicale, sanitaire et antidopage afin de permettre au kickboxeur de participer aux futurs événements de la WAKO.
Article 8 - Périodes de suspension après d'autres types de blessures
Le kickboxeur qui est blessé pendant le combat pour quelque raison que ce soit (pour le KO à la suite d'un coup de tête ou d'une autre blessure à la tête, voir l'article 7) et que cette blessure ne permet pas de poursuivre le combat, sera examiné par un médecin local immédiatement après. Si le médecin est d'avis que la blessure doit être évaluée à l'hôpital,
le médecin remplira le formulaire "Rapport d'urgence médicale de la WAKO" (voir annexe) et le kickboxeur sera escorté à l'hôpital par l'ambulance de service. Le formulaire "Rapport d'urgence médicale de la WAKO" doit être signé pour accord par le kickboxeur (s'il est conscient) et son entraîneur.
En outre, sur la base de l'évaluation de l'hôpital, le médecin local, après consultation du superviseur médical de la WAKO, décidera de la durée de la période de restriction médicale (le cas échéant) et de la nécessité d'un certificat médical avant d'être admis aux futurs événements de la WAKO.
En cas de restriction médicale, le kickboxeur doit se conformer à ce qui est indiqué à l'article 7.
Article 9. Appareils dentaires
Le kickboxeur qui participe aux disciplines du tatami ou du ring et qui porte un appareil dentaire doit avoir une autorisation écrite de son chirurgien orthodontique qui a personnellement équipé le compétiteur d'un protège-dents de protection personnelle. Le formulaire "Certification de l'appareil dentaire de la WAKO" doit être utilisé à cet effet (voir annexe). Il doit être rédigé en anglais et peut être téléchargé dans le système d'enregistrement officiel de la WAKO. Ce formulaire ainsi que le protège-dents ajusté personnellement doivent être présentés lors de l'examen médical après la pesée.
Article 10. Règle provisoire
Toutes les règles précédentes seront en vigueur pendant une période de 24 mois afin de permettre la collecte de données et de statistiques. Après cette période, les règles médicales seront revues afin de maintenir le nombre de blessures le plus bas possible.
DOCUMENTS MÉDICAUX
En tant que participant (campeur, arbitre), vous devez remplir un certain nombre de formulaires médicaux avant de pouvoir participer à la compétition officielle. Veuillez lire ci-dessous à quelle catégorie vous appartenez, télécharger les documents et les remplir ou les faire remplir et signer. Dans la plupart des cas, vous devez remplir plus d'un document ! Dans certains cas, un médecin, un parent ou un responsable doit remplir ou signer.
Alors soyez prêts !
Je suis un arbitre ou un juge
WAKO Medical Rules 2021 - Medical certificate for referees and judges
Je participe en tant qu'athlète
WAKO Medical Rules 2021 - Questionnaire - Sports medical examination
WAKO Medical Rules 2021 - Liability Waiver
WAKO Medical Rules 2021 - Medical certificate for kickboxer
Je suis mineur
WAKO Medical Rules 2021 - Parental Legal Guardian Consent
Je suis une fille ou une femme de plus de 14 ans.
WAKO Medical Rules 2021 - Non-pregnancy declaration
Je porte un dentier fixe
WAKO Medical Rules 2021 - Dental brace Certification
J'ai eu une fois une blessure à la tête (commotion, knockout)
WAKO Medical Rules 2021 - Head Injury Card
En cas de doute, contactez le président de la WAKO Belgium ou le responsable du club.